Alors que Disney doit faire face à une crise interne suite au vol de Pirates des Caraïbes : la Vengeance de Salazar, Lucasfilm semble avoir mis en place des procédures drastiques pour éviter le pire !
C'est Gary Whitta, le premier scénariste engagé pour écrire A Star Wars Story : Rogue One, qui a fait part de son expérience lors d'une convention à Salt Lake City. En effet, l'homme derrière le script du Livre d'Eli a carrément comparé la société de Kathleen Kennedy à la CIA en expliquant la procédure qui lui a permis d'arriver sur le projet.
En effet, il a été contacté en amont par un membre de Lucasfilm qui lui a transmis un document contenant des informations pour lui. À l'époque, il ne sait pas encore qu'il est approché par la société pour écrire le premier spin-off dérivé de la saga de George Lucas. Malheureusement pour lui, le document est protégé par un code à seize caractères qu'il doit recevoir lors d'un appel dans la journée.Pour l'anecdote, Gary Whitta explique qu'il ratera le coup de fil en s'absentant cinq minutes et devra alors attendre le lundi d'après pour recevoir le mot de passe, qui lui sera donné de vive voix. Il découvre alors que le document concerne ce qui deviendra plus tard le film de Gareth Edwards.
Nous savons que le secret est l'une des prérogatives de Lucasfilm dont nous découvrons ici l'un des nombreux systèmes de sécurité mis en place pour éviter à l'une de ses informations de fuiter. Il faut d'ailleurs avouer qu'avec la multiplication des projets et donc, du personnel impliqué, les mesures de Kathleen Kennedy doivent être de plus en plus restrictives et ne pas trop s'éloigner de celle de l'Empereur Palpatine...
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